
Je vous propose deux réponses :
- Celle de Dr. Joyce Brothers relevée sur lesbeauxproverbes.com « La colère réprimée peut empoisonner une relation autant que les mots les plus cruels »
- Celle de Jésus le Christ : « Eh bien ! moi je vous dis : Quiconque se fâche contre son frère en répondra au tribunal ; mais s’il dit à son frère : Crétin ! il en répondra au Sanhédrin ; et s’il lui dit : Renégat ! il en répondra dans la géhenne de feu » (Matthieu 5, 22).
L’enseignement de Jésus le Christ est l’une des expressions de l’accomplissement du cinquième commandement de Dieu « Tu ne tueras point ».
Est-ce que leurs réponses vous conviennent ? À moi, oui. Cela étant, je comprends parfaitement qu’il est parfois difficile de trouver des mots qui ne sont pas cruels lorsque la colère est vraiment grande. Dans ces moments-là, prenons-le temps de respirer et de prendre du recul, pour nous donner l’occasion de sentir l’esprit de Dieu nous inspirer.
Si malgré nos efforts, nous ne trouvons pas les mots appropriés et le cadre adéquat pour discuter, souvenons-nous que la médiation d’un tiers impartial, indépendant et neutre peut aider.
Vous voyez bien qu’entre la colère réprimée et les mots cruels, il y a bien une autre voie.
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Cotonou, le 24 septembre 2017
Elvire VIGNON, Avocate honoraire, Arbitre et Médiatrice